Le casebook WFTDA illustré
Cutting the track, partie 2
![Quelqu'un qui coupe un rail de chemin de fer. Parce que track ça veut aussi dire rail. C'est un jeu de mot. Avec la polysémie de « cutting the track ». Pourquoi est-ce que je suis encore en train de dire des choses ? Il faudrait que je me taise.](https://live.staticflickr.com/5555/15322682422_0b6f030446_b.jpg)
Voici la suite (et fin) des mises en situation concernant les « cuts ». Vous pouvez retrouver la première partie (ainsi que le guide de lecture des schémas) ici.
Astronomie, informatique, reflexions diverses
Cutting the track, partie 2
Voici la suite (et fin) des mises en situation concernant les « cuts ». Vous pouvez retrouver la première partie (ainsi que le guide de lecture des schémas) ici.
Le graphique inutile de la journée
Lorsque la WFTDA a publié sa première version des règles du roller derby, le document ne faisait que 9 pages. Aujourd’hui il y en a 74 (90 pour la version francophone). Voici la réponse à la question qui ne vous a jamais brulé les lèvres de « comment est-ce que ce nombre de pages a évolué au cours du temps ? ».
Que faire en tant que PBM ?
Heureusement, c’est relativement rare qu’une joueuses soit « foul out » (certes, ça peut arriver plusieurs fois au cours d’un seul match, mais ça reste moins fréquent que, par exemple, un début de jam). Mais quand ça arrive ça peut être un moment émotionnellement compliqué pour les joueuses concernées, en plus de donner du travail supplémentaire aux officielles. Voici un petit guide à l’usage des Penalty Box Manager (PBM) concernant la gestion des exclusions de jeu.
Cutting the track, partie 1
Les règles du roller derby évoluent